Magnifique sentier de randonnée vers la slap Mostnica.
Restauration possible à Stara Fuzina, Planinska koda na Vojah et Okrepcevainica slap
Le départ de la randonnée se fait au niveau du parking (payant) du village Stara Fuzina. Un petit sentier conduit rapidement au Pont du Diable.Il a été construit dans une seule arche de pierre taillée et placé au-dessus de la gorge profonde. En construisant le pont, le baron Žiga Zois a amélioré le système de voies d’approvisionnement en minerai de fer et en charbon de bois des montagnes environnantes à l’usine de traitement du minerai de fer qui était située à côté du manoir Zois et du ruisseau Pretovka. Ci-dessous la légende dont le pont tire son nom. Le guichet du départ de la randonnée se situe à quelques minutes après ce pont.(l’accès est payant d’avril à octobre). Continuer sur le sentier de droite. A partir de la Beccar’s Bridge il entame une légère montée jusqu’à la hutte de montagne à Vojah (Planinska koca na Vojah) qui est une auberge. La deuxième partie de la rando se déroule en traversant des prés. Une courte sente permet de traverser la Mostnica et après un petit dénivelé, la cascade est atteinte. Pour le retour rester à gauche de la Mostnica en passant à coté d’une auberge (Okrepcevalnica slap voje) et de quelques chalets. A partir de Planinska koca na Vojah il faut redescendre le sentier utilisé à l’aller jusqu’à la Beccar’s Bridge. Traverser ce pont pour rester sur le sentier de gauche jusqu’au petit pont qui se trouve au guichet. Ici il faut revenir sur le côté droit pour retourner en quelques minutes au parking.
LEGENDE DU PONT DU DIABLE :
« Une vieille légende raconte que les habitants de Bohinj ont construit un pont avant la tombée de la nuit, mais le matin, il a été complètement détruit. Ils ont conclu que le diable lui-même devrait construire le pont. En échange de sa construction, le diable a demandé à la première âme de la traverser. Un paysan avait un chien et lorsque le pont fut terminé, il jeta un os de l’autre côté, et son chien le suivit d’un bond. Ainsi, le diable a reçu l’âme d’un chien. Dans sa colère, il tapa ça et là avec sa queue et ne réussi qu’à faire tomber la balustrade. Le pont est toujours debout. (La version slovène se trouve dans le livre de Marija Cvetek: Bohinjske pravljice) »
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